Le respect de l'autre dans sa globalité

        Le sophrologue doit respecter la dignité, les valeurs morales et existentielles de la personne ainsi que la diversité de ses croyances personnelles.

        Le sophrologue doit éviter toute action sur la conscience d’autrui risquant de la dénaturer ou de l’endommager. Il se doit de bien connaître ses propres limites professionnelles, à ne jamais donner de conseil sur un traitement médical (sauf s’il est médecin), à ne proposer que des techniques ou exercices adaptés.

        Il se doit d’orienter son client vers un autre praticien (médecin ou psychiatre par exemple) si cela s’avère nécessaire.

        L’alliance sophronique est un accord qui fixe la durée, le lieu, le rythme et le coût des séances. Le sujet est libre d’arrêter les séances quand bon lui semble. Le sophrologue s’engage de son côté à respecter le secret professionnel et la règle de la confidentialité.

        Le sophrologue n’impose aucun dogme. Le sophrologue s’interdit d’exploiter son client notamment, et non limitativement, dans les domaines sexuel et financier.

        Il fait sien l’un des grands objectifs de la sophrologie : l’autonomisation de la personne. Il s’interdit tout acte ou parole susceptible de nuire aux personnes qu’il reçoit professionnellement.

        Le sophrologue exerce légalement et reçoit une rétribution pour les séances qu’il dispense et se soumet aux contrôles d’usage de l’URSSAF et des services fiscaux.